La peur des monstres

J'adore, un peu court mais j'adore ^-^

Merci =D , je sais que c'est court. Peut-être que je retravaillerais le texte.

Ce serait super

Hey, t'as réussi pour la signature et l'avatar ^^

Parfait mais 'suis un peu déçue par la fin ^^

Ce n'est pas la fin je te rassure ^^. C'est juste le début. Je bosse encore sur la suite, la nouvelle sera un peu plus longue que l'originale.

TRès, bien, j'attends avec impatiente ^^

Dague : Ecrivain très douée sauf pour les fins.
Ton histoire est super mais la fin est un peu décevante...

Désolée ^^" mais je savais pas comment terminer. Des conseils ?

L'enfant a disparu

Euh.... une fin qui se termine bien s'il te plait ^^

L'enfant s'endort -_-"

Ouais -__-'' il y a pas grand chose. Mais faudrait que je la tourne autrement.

J'attends, alors ^^

Moi, j'aime bien ton histoire. Mais c'est vrai qu'on pourrait s'attendre à quelque chose de mieux pour la fin.
Euh, ben... je sais pas moi... l'enfant et les fantômes deviennent amis ^^

Oui ! Et après, les télétubbies vont danser avec ! >.<

C'est ça ! Moque toi ! xD

Je ne me gênes pas

Pfff ! Espèce de méchante !

Toi t'as pas trouvé mieux, alors !...

Pourquoi "espèce de" ? Si je suis méchante, je ne suis pas une "espèce de méchante.

FLOOD !

Grrr ! Façon de parler !

Bon, pour revenir sur l'histoire... j'attends la suite. Ou plutôt la 2èmee suite

C'est une bonne idée de les faire devenir amis, je vais y penser ;)

Télétubbies... >_________<'

Grrrrr... Artémis je vais te... ! xD

Eh oui, je sais, c'est mon habitude d'avoir des bonens idées !

C'est la première version que je préfère : elle assume beaucoup mieux son ton humoristique. La deuxième version, en développant sa chute, tombe un peu à plat.

En littérature, je connais assez peu d'exemples de récits qui mêlent fantastique et humour. En voici, qui sont dûs à Clive Barker :

• Jack et le Cacophone (recueil Livre de sang) : Le Cacophone est un démon mineur (pour ne pas dire minable) que l'Enfer a chargé de rendre fou Jack Polo. Jack semble manifester une indifférence fort pénible...
  Tout l'humour repose sur l'inefficacité et la frustration du démon et sur les réactions apparemment mollassonnes de Jack.
  
• Le corps politique (recueil Apocalypse) : Une étrange maladie se propage en Angleterre : ceux qui en sont atteints... n'ont plus aucun contrôle sur leurs mains !
  Ici, c'est l'absurde.
  
• Vade Retro (même recueil) : Un homme décide de créer sa version personnelle de l'Enfer : nombreuses salles de tortures, bûchers... Et il y trouve une mort atroce.
  Là, c'est une sorte de version morbide de l'arroseur arrosé.
  

Quel que soit le ressort comique utilisé, le mélange humour/fantastique repose sur un principe essentiel : un décalage entre les gags et l'atmosphère inquiétante. Vois (ou revois) Scream : c'est une parodie de film à suspense. Mais les scènes de suspense n'ont pourtant rien de drôle : ce sont au contraire des scènes qui comptent parmi les meilleures du cinéma d'épouvante (mention spéciale au début).
Et c'est là le défaut de ta nouvelle : l'atmosphère n'est pas assez inquiétante. Il ne suffit pas de choisir une nuit d'orage : il faut tirer partie de cette nuit d'orage pour décrire tout ce que ça a d'inquiétant.

Voyons à ce sujet le début :

Dague a écrit:

Le vent soufflait dans les arbres. Les éclaires illuminaient le ciel noir de la nuit.

Là, il y a un problème de cohérence : comment Max peut-il voir "le ciel noir de la nuit" ? S'il est couché, il est plus que probable que ses volets soient fermés. Une bonne atmosphère, ça commence par une narration du point de vue du personnage (en l'occurence Max). Il est rare que des parents tolèrent que les volets soient ouverts là où dort un enfant : le lever du jour risque de le réveiller prématurément.
Ce qui n'est pas impossible, c'est que les volets laissent passer un petit peu de lumière. Et ça suffit pour que les éclairs illuminent la chambre faiblement, donnent des contours étranges aux objets familiers...
Détail d'orthographe : attention aux éclairs

Dague a écrit:

Mais Max n’arrivait pas à dormir, il avait peur, peur des monstres qui rôdent les soirs de tempêtes. Ses vitres, peu épaisses, laissaient entendre les coups de tonnerre, toujours plus proches, toujours plus puissants. Max tremblait beaucoup, à tel point que le claquement de ses dents le fit lui-même sursauter. La tête enfouit (enfouie) sous les couvertures, il était à l’affut (Il manque un accent circonflexe) du moindre grincement.

Pour le tonnerre : pas mal, mais en comparant le tonnerre à un son qui évoque quelque chose d'effrayant à Max, tu pourrais renforcer.
Pour le claquement de dents, tu as raté quelque chose : Max entend une espèce de pulsation bizarre... et ne réalise que peu à peu que ce sont ses dents qui claquent.

Dague a écrit:

qu’il avait finit par y croire

Dague a écrit:

Max entendit la porte de son placard grincer.

L'ouverture de la porte n'est pas longue, mais si Max a peur, le grincement lui paraît très long. C'est un effet courant et toujours efficace : en insistant sur le fait qu'un moment paraisse interminable à un personnage, on rend ce moment effrayant. Il est dommage que tu t'en sois privée...

Dague a écrit:

Il se leva sans bruit, refoulant sa peur, et se dirigea vers la penderie.

En fait, c'est sa curiosité qui l'emporte sur sa peur... mais sa peur est toujours bien présente. Il ne va donc pas franchement vers son placard ouvert.
Pour éviter les réactions peu crédibles -genre : ceci-, mets-toi dans la peau de ton personnage. Si ton placard s'ouvrait en pleine nuit, si tu entendais des voix parler de te faire ta fête, d'un couteau... comment réagirais-tu ?

Dague a écrit:

le placard était désormais ouvert

Désormais signifie Dès ce moment-ci, à l'avenir. Tu as donc écrit que le placard était définitivement ouvert.

Dague a écrit:

Mauvaise idée, il se retrouva nez à nez avec un fantôme (celui-ci était munit d’un couteau).

En gras, ce qui est superflu : tu casses tout ce que ton atmosphère pourrait avoir d'inquiétant en incluant une formule pleine d'humour. Il est encore trop tôt pour introduire l'humour. Pour l'instant, on reste encore dans l'angoisse.
Est souligné ce qui est utile, mais pas formulé de la façon la plus heureuse : c'est tout simplement "un fantôme armé d'un couteau".
Et on est muni d'un couteau.
A quoi ressemblent tes fantômes ? Les vois-tu comme des silhouettes vaguement humaines ? Les vois-tu comme des écorchés ? On aurait vraiment peur si on en savait quelque chose... Max dit ce qu'il a vu... mais ce n'est pas suffisant. Enfin si : c'est suffisant pour que ma suggestion d'écorchés ne vale rien. Mais dans la scène du placard, ne te prive pas d'une description aussi effrayante que possible.

La suite est racontée sur le ton qu'il faut. Juste ce détail :

Dague a écrit:

-Ne vous inquiétez pas mes chéris, rigola leur mère.

Attention : "rigoler" appartient au registre familier.

Encore avec cette matraque...

N'empêche, avec toi, tous les textes paraissent nuls xD Et les remarques positives ?