Un roman de...moi!

Voici mon début de roman:

Coup de foudre au cinéma

Chapitre 1

La Rencontre

Je me présente, je m’appelle Caroline. J’ai douze ans, je suis brune et je suis fille unique. J’habite à Paris. Ma meilleure amie s’appelle Charlotte. Mes amis me surnomment le singe car j’adore l’escalade. J’ai une taille moyenne et un poids moyen (en gros je suis normale). Un jour, je suis allée au cinéma, et c’est là que ça a été le coup de foudre. Figurez-vous que le garçon qui est à côté de moi n’arrête pas de me fixer en douce. Je ne le regarde pas pendant un moment, quand, tout d’un coup, mon regard croise le sien, et là, mon cœur se met battre à cent à l’heure. Je commence à lui poser plein de questions : je lui demande son âge, son nom et son prénom… Je ne m’intéresse même pas au film .en sortant dans la rue maman me demande :
« -Le film t’a plu ? »
Je lui réponds que oui, je prends trois mètre d’écart et continue mon chemin. Je ne regarde même pas où je marche : je suis sur un nuage. A un moment je faillis renverser un monsieur chargé de cinq sacs en plastique, remplis d’objet en tout genre. Arrivée à la maison je file dans ma chambre et m’allonge sur mon lit. Je pense à ce beau garçon et j’essaye de me rappeler : ses yeux noisette, son teint abricot, ses cheveux châtain et bien d’autre qualité qui m’échappent. Au fait quel est son prénom ? Il commencer par M et est très court. Je me souviens ! C’est Max ! Max CORY ! Brusquement je me rappelle que je ne lui ai demandé ni son numéro de téléphone ni son adresse. Comment est-ce que je vais faire pour le revoir ! D’abord calmons nous. J’entends la voix de maman qui crie :
« -A table !
-J’arrive !lui dis-je. »
A table, je ne touche presque pas à mon assiette.On entend le bourdonnement d’une
mouche tellement le silence est lourd. C’est maman qui prend la parole la première :
« -Tu ne veux plus de ton rôti ma puce ?
- Enfin, chérie tu voies bien quelle n’a plus faim ; répondit papa.
-Heu, maman est ce que je peux avoir mon dessert ? murmure ai-je.
En dessert il y avait des îles flottantes. J’adore !
Avant de me coucher, je repense à ce mystérieux garçon : comment le retrouver ? En cherchant dans l’annuaire téléphonique. Et s’il était sur liste rouge ? Ho lala ! Comment faire ! «Une bonne nuit de sommeil ne te ferais pas de mal ! »me dit une petite voix. Elle avait raison : je m’endormie en un rien de temps
















Chapitre 2

De l’aide !


Toute la journée je n’ai ni écouté les profs ni mangé (il y avait pourtant des tomates farcies, mon plat préféré). Le soir Charlotte me demande :
«- Tu en fait une tête, tu as mangé quoi ? En tout cas pas un poisson d’avril !
-C’est pas le moment de plaisanter !
-Et… pourquoi ?
Je l’entraîne vers un buisson et lui raconte toute l’histoire. Elle me regarde comme si j’étais la reine d’Angleterre. A la fin de mon récit elle me questionne :
« -Est-ce que tu as son nom ?
-Oui. C’est CORY ; lui répondis-je.
-Bien, et, sais-tu où il habite ?
-Arrête avec tes questions ! On dirait Sherlock Holmes !
-Bon d’accord ; mais dis moi juste si tu sais où il habite.
-Non je ne sais pas ; lui dis-je bêtement.
-Nous allons chercher dans l’annuaire, j’en ai un chez moi ; décida-t-elle.
Nous sortîmes de notre cachette puis traversâmes la rue pour enfin arrivés devant sa maison. Nous montâmes dans sa chambre .Après une heure de recherche nous allions enfin toucher au but.
« -Regarde, dis-je à Charlotte, Max habite à Toulouse.
-On a de la chance ça vas nous changer des pots d'échappements et du brouhaha quotidien.
-Et comment va-t-on faire pour y aller, mademoiselle je sais tout ?
-Nous n’avons qu’à demander à nos parents d’aller en vacance là bas !suggéra-t-elle.
-Tu as raison, en plus mes parents aimeraient partir pendant les quelques jours de congé qu’ils vont avoir.
Le soir, je suis allé voir mes parents pour leur demandé s’ils voulaient bien partir à
Toulouse. Au début maman ne voulait pas car elle disait quelle avait trop de travail et que son directeur ne voudrait jamais. Après avoirs supplier, implorer, elle voulue bien prendre quatre jours de congé pour les vacances de Pâques. Papa lui par contre ne pouvais vraiment pas : il disait qu’il n’avait pas le temps et qu’il avait trop de boulot. Le soir, j’étais trop contente, maman avait le temps de prendre quelques jours de congé, et, je pense que ça lui fera du bien de partir.
Le lendemain, je suis allée voir Charlotte pour lui annoncer la bonne nouvelle.
«-Alors, ta mère veut bien venir ?me demanda-t-elle.
-Oui ; elle prend quatre jours et la tienne ?
-Moi ? C’est pareil !
-Super !
Toute la journée, pendant les récréations, nous avons discuté de ce que nous allions faire là bas. Charlotte voulait que l’on cherche tout les « CORY » qui habitaient à Toulouse. Moi j’aurais préféré que l’on cherche que leurs numéro de téléphone. Au bout de trois minute de raisonnement, Charlotte voulu bien m’écouté :
«- Tu as raison Caroline, ce sera facile, en plus je n’aime pas la marche à pieds. –Moi non plus ça tombe bien !
Et nous éclatons en fou rire. C’était vraiment très drôle : les deux paresseuses qui ne voulait pas faire de sport pendant les vacances. Après nous être calmées Charlotte décréta :
«-Nous n’avons plus qu’à faire nos bagages.»
Quand je suis rentrer à la maison j’avais un grand sourire au lèvre. Si grand que papa la directement remarqué.
«- Tu en fais un sourire ! Tu te détends les zygomatiques ? »
Je lui dis non avec un air rêveur et file dans ma chambre.




Chapitre3

Préparatifs

En partant à mon cour de solfège, je rencontre mon professeur de géographie. Elle qui est la plus sympa de tous les instituteur, je lui demande des renseignements sur la ville de Toulouse.
« -Toulouse, la ville rose, me fait-elle avec un si bel accent que l’on dirai qu’elle y habitait depuis toujours ; je trouve cette ville magnifique : il y fait souvent beau et puis en hiver il y a le marché de noël où l’on peut acheté toute sorte d’objet. Il y a aussi plein de boutique et un peu moins de circulation .Mais pourquoi me poses-tu cette question ?
Tu pars là-bas pour les vacances ?
-Non, non…c’est pour une copine ; lui répondis-je. »
Au cours de solfège je n’ai presque pas écouter la prof : ça ne m’a jamais servi !
«- Caroline ! Qu’est ce que je viens de dire ? me crie-t-elle.
-Euh…Il faut une tierce majeur pour faire un accord parfait majeur et une tierce mineure pour faire un accord parfait mineure.
- Bien, j’ai cru que tu n’écoutais pas ! »
Elle grommela une phrase, à mon attention je suppose ! Je lui jette un regard noir. Celle-ci ! Elle est aussi aimable qu’un crapaud ! Et encore ; un crapaud est plus poli




Vous en penser quoi?