A Story In The World

Voilà ma nouvelle fic ( encore une !). Oui je sais, mais celle là, je l'aime bien et j'ai un gros scénario, enfin c'est pas révolutionnaire...J'avais penssé à ça sous le format d'une série en trois saisons, ça fait beaucoup d'événements. Attention c'est très très très très très très très long.

Enjoy ( I hope...)

Nous savons que nous sommes nombreux sur notre planéte bleu, on nous le dit sans ses. Cela est un fait, mais pourquoi a t’on peur de cette masse de gens qui naissent chaque jour ? On nous raconte souvent que c’est pour préserver le pétrole, l’eau et que plus est mieux que moins. Je ne peux que rire de ces escuses toute absurdes les une que les autres. Il y a bien une raison, bien plus affreuse et qui n’est pas très agréable à attendre. Je me rappelle de la premiére fois que je l’ai appris, c’est comme si tout s’effondrait, se brisait. Mais mon histoire n’est pas la seule, chaque jour des tas de choses se passent. Mais qui sait ce qui se passe vraiment ?


A story in the world


Une histoire se commence souvent par il était une foix, car souvent on préfére lire des fictions pour se rassurer. Quelque fois, il se trouve que certaine personnes soit prit d’une mélancolie soudaine et se mettent à écrire des histoires sombres, mais on les prend pour des fou sans cerveaux. Comme si l’écrivain d’une histoire sur un chien nommé Ciwawap n’était pas dérangé psychologiquement. Je ne vais pas commencait cette histoire par il était une foix et je n’ai pas pris de mélancolie soudaine et d’ailleurs je ne suis plus capable de prendre quoi que ce soit. Cette histoire parmis tant dans le monde commence dans un arret de bus dans une ville que la plupart de la planéte ne connait pas, je me demande qui sur des milliards d’habitant connait la ville de Bamama en Océan. Peut être un géographe, mais je considére ces personnes comme des dérangés psychologiquement surement à cause de mon histoire personnel...Revenons à cette histoire, qui commencera par le commencement de l’histoire de notre “héros” qui n’en est pas vraiment un. Ce qui va suivre commence dans un arret de bus, et ce terminera dans les airs.

John ne penssait pas que sa vie était très passionante, d’après lui il ne vivait que pour son patron qui sans lui aurait surement fait faillite. Je ne peux pas dire que sa vie n’est pas passionante, en fait sa vie est bourré d’événements tragiques, de personnages infames,de géographe fou. C’est bien pour ça que je raconte cette histoire...Il y a bien sur un tas d’autre réponses, mais vous n’avez pas vraiment besoin de les savoir. John était debout appuilé sur un pauteau, ses vêtement n’étaient pas très “à la mode”. Il avait laissé une dame s’asseoir à sa place dans l’arret de bus, la vielle dame lui souriait sans sesse à présent et pour monter qu’il la remarquait, Jonh montraitt lui aussi son sourire. Ce qui avait le don de le rendre encore plus malheureux...Il faut dire que sa journée n’avait pas très bien commencé. Il avait dormit à 5 heures du matin, ce qui est très pratique quand on doit se lever à 7 heures. Il ne réussit donc pas à se réveiller, il fut donc en retard, il n’avait pas prit de petit déjeuner, ses membres le faisait souffrir et son haléne était particuliérement désagréable. Il aurait donc préféré être assis que d’essayer de tenir debout en se colant à un peautau où les chiens avaient l’habitude de faire leurs besoins, mais Jonh ne remarquait pas qu’il était en train d’écraser une m**de de chien. Jonh était caissier dans un supermarché tout à fait normal, il avait des clients tout à fait anormals et un salaire moyen. Tout cela suffisait pour John, il n’avait jamais voulut être un riche sportif qui signait les autographes, car tout d’abord il n’aimait pas le sport et il détéstait par dessus tout écrire. Lui, ce qu’il appréciat c’était de surfer sur internet et de voir des films. Sa vie se résume donc à un ordinateur et à un lecteur DVD, donc chez lui on pouvait trouver un ordinateur avec lecteur DVD inclus. John ne parlait pas souvent, il n’avait pas d’amis, il préférait vivre seulement pour lui...Il savait que les problèmes se créait avec un conflit, ce que l’histoire va confirmer, donc il essayait d’éviter les conflits. Ce qu’il réussissait à merveille et sans aucun problèmes. Il était aussi orphelin, ses parents l’avaient abandonné dans un orphelinat miteux où se trouvait des personnes miteuses, des meubles miteux, des vêtements miteux, des enfants miteux et des problèmes miteux. Vous l’avez compris tout était miteux...

John n’avait pas passé une enfance agréable, chaque jour de sa miteuse enfance se résumait à un nombre incalculables de problèmes en tout genre, c’est bien pourquoi il préfére d’éviter les conflits. Son enfance fut misérable, et pas très mouvementé je ne resterais donc pas très longtemps dessus...Je veux juste préciser qu’il ne connait pas son nom, sa famille n’a pas pris la peine de le préciser. John s’appelle donc Jonh quelquechose. Ce qui est très pratique quand on se présente, mais John n’aimait pas se présenter.

John pour le moment attendait son bus, qui mettait plus de temps que prévut pour se présenter ce qui avait le don de le rendre encore plus colérique. Étais ce trop demander de dormir encore plus ? Surement trop.
-Comment allez vous ? demanda une voix
John se retourna pour voir un petit homme chauve en costard qui le regardait fixement, il souriait, d’un grand sourire hyphocrite.
-Heu...Vous me parlez ?
John parlait lentement et doucement et cela le rendait très...ridicule.
-Bien sur ! Je ne suis pas du genre à parler aux arbres. Je suis juste un homme qui veut juste savoir comment vous allez. répondit l’homme.
Quand il parlait il sautillait, ce qui donnait le malaise à John. Mais qu’est ce que cet homme lui voulait ! Cette journée avait vraiment très mal commencé...On ne lui posait pas de questions, car il ne répondait jamais. On l’évitait aussi...Mais certaine personnes essayaient de le rendre un peu plus sociale mais John ne voulait pas connaitre des gens ! Il savait ce qui se passait dans ce cas là et il avait peur. Et maintenant qu’est ce qui se passait ? Un homme lui posait des questions stupides quand il était malade et mal en point. Il n’avait pas l’intention de répondre, il ne répondait jamais. La seule chose qui sortit de sa bouche fut un grognement à peine audible.
-Heu...Bon, je pensse que je dois reformuler ma question. Comment allez vous ?
-Je vais bien !
Il répondait...Si des personnes qu’il “connaissait” aurait vu cette scéne, il aurait surement applaudit en sautillant. La seule personne qui sautillait était l’homme et il ne connaissait pas John, enfin John ne le connaissait pas.
-Et bien...Cela ne va pas durer.
L’homme s’en alla. John ne dit aucun mot, c’est vrai que ça ne le changeait pas mais il était incapable de dire aucun mot. Voilà ce qu’il détéstait ! Mais pourquoi avait t’il parlé à cette homme ? Peut être ce sautillement lui avait fait perdre la tête.

John n’avait pas encore récupéré ses esprits que le bus tant attendu arriva sous un bruit sonore. Il allait comme même pouvoir s’asseoir dans le véhicule...Enfin si il y avait de la place. Les gens se précipitaient dans le bus, la vielle dame qui avait pris la place de John fit même un salto arriére avant de sauter dans le bus. Ce qui veut dire qu’il ne faut jamais laisser la priorité au vielles personnes si ces personnes sont réelement “handicapés”. Bref...John rentra en dernier dans le bus, il ne trouve pas quel est l’interet de pousser tout le monde pour rentrer en premier. Pour s’asseoir plus vite ? Pour avoir une place ? À quoi sa sert, puisqu’il n’a jamais de chance. En rentrant tout paraissait plein, sur deux places on pouvait trouver cinq personnes. John était donc condanné à rester assis et a encore subir la douleur de ses jambes...John aurait bien voulu pleurer mais il ne savait pas si il avait assez de force, surement pas. Sauf que...Au dernier moment un homme qui prenait deux siéges se précipita vers la sortie et vomit son MacD****ld, John en profita pour prendre sa place. Après tout...Qui part sans garder sera tout énérvé. John se posa comme une crépe sur son siége, il pouvait enfin se reposer. Il ne penssait plus à l’homme étrange qu’il avait rencontré, il l’avait même oublié. Non, il se disait qu’il avait bien de la chance de pouvoir être assis. Et surtout, il avait eu de la chance. Mais cela ne va pas durer.
-Eh ! Mais t’est là !
Un homme de taille moyenne, avec des vêtements moyens, des cheuveux moyens, une bouche moyenne, des oreilles moyennes etc..., s’assit dans le siége voisin de John. Il paraissait inquiet et apparament il connaissait John ce qui est fort peu probable. Notre “héros” ne dit rien, c’était surement une personne qui faisait une blague dans un bus remplit en plein millieu d’une ville au nom imprononcable, pas de quoi s’inquiéter.
-J’arrive pas à croire que tu montes dans un bus ! Alors que...Mais ouais ! T’es trop fort. Tu pensse qu’ils ne vont pas chercer dans les enddroits trop évident. Peut être que ça va marcher, mais c’est pas sur. En tout cas, t’as pas de bol.
Cette journée avait décidément très mal commencé. Mauvais réveil, rencontre d’un homme fou et maintenant ça ! Mais qu’est ce qui pouvait bien se passer ? John était connu pour sa colére dévastatrice, il ne se mettait pas souvent en colére mais si cela arrivait il pouvait facilement tuer quelqu’un.
-Je vous en prie je ne suis pas d’humeur, alors laissez moi tranquille.
En disant ça, John paraissait déséspéré et l’homme lui lanca un regard étonné.
-Tu te moques de moi là ? Je te jure c’est pas le moment de rigoler, ce qui se passe est la chose la plus pire qui ne t’est jamais arrivé. Alors, pas d’humour ! Je crois pas que je vais réussir à supporter ça !
John souria brévement, il n’avait peut être pas devant lui le fruit de la bêtise humaine mais tout simplement un fou. Mais pourquoi est ce que le fou s’était assis a coté de lui ? Ah, oui il n’a pas de chance c’est tout.
-Et moi je pensse que je ne trouve pas ça drole, je vous en prie je suis fatigué. Laissez moi en paix. Peut être que vous pourez faire cette blague à quelqu’un d’autre...
-Quelle blague ? Mais t’es en train de délirer ! Ou plutôt tu te marres devant moi. Si tu veux que je me tire, il faut le dire.
-Mais tire toi !
-Ouais ! Tu l’as enfin dit. Je sais pas ce qui t’arrive, mais je pensse pas que c’est super, super.
Quelle personne étrange...John avait l’impression qu’il parlait franchement. Mais comment cela pouvait t’il être possible ? Il ne le connaissait pas ! À vrai dire il ne connaissait pas vraiment beaucoup de personnes. La seule chose qu’il aimait était son ordinateur, mais ce n’est pas une personne. Enfin qui sait ? John était en colére, sa jou
rnée était pourrit ! Elle n’avait pas que mal commencé, elle était définitivement raté. À part si il gagnait une somme faramineuse, ce qui est fort peu probable pour ne pas dire impossible.

-Pourquoi toujours moi ? C’est vrai ! Tout le temps...Qu’est ce que vous avez à vous acharner sur moi ? Je crois boire un tea, et non c’est la pisse du chien ! Maintenant j’en bois plus et j’ai peur du chocolat, peur que ça soit de la * cette fois ci ! Et pourquoi est ce que ce sale mec a pris ce stylo ? Il avait que ça à faire ! Maintenant j’ai peur de parler aux gens ! Peur que ça se repasse ! Pourquoi à chaque fois que je vais au cinéma, le mec qui se retrouve devant moi fait 3 mètres ou arrete pas de causer pendant le film ? À chaque fois ! Je commence à en avoir marre de ce manque de chance ! Alors fouttez moi la paix une bonne fois pour toute !
Tout les passagers du bus regardaient John, on avait l’impression qu’ils étaient tous figés. Tous avec leurs sandwichs en mains et la sauce tomate qui dégoulinaient sur leurs joues. John venait encore une fois de se plaindre sur son manque de chance, mais toute ces personnes penssaient que c’était seulement une plainte comme les autres. Qu’il penssait qu’il n’avait pas de chance à cause de sa tête qui avait frappé le Buzz L’éclair en or du fils de son patron. Mais je peux confirmer que John n’avait pas de chance, complétement aucune...
-C’est qui ce taré! dit une voix dans le bus

John baissa les yeux, il avait l’habitude...Il dérapait au moins une fois par mois, c’est surement ce qui lui permettait de tenir. Mais ce jour là, tout ce passait autrement. Ces gens étranges qui lui parlait, qui disait le connaitre. Cela n’était jamais arrivé. La vie reprit dans le véhicule, ils recommancaient à dévorer leurs sandwichs.
-Eh, mais ça va pas ? Tu t’es fait remarquer dans un bus ! Je te dis de faire gaffe, ils vont vite savoir où t’es.
John décida de rentrer dans son jeu, après tout il allait voir ce que ça fait de dscuter avec une personne dérangé psychologiquement, même si il le savait déja.
-Tu t’appelles comment ? T’es qui ?
L’homme fronça les sourcils puis décida de rentrer dans le jeu de John.
-Moi c’est Claude...
-Ah...
-C’est bon tu te souviens ? Bon, bref. Le faucon te recherche et c’est pas bon pour toi. Je penssais que tu t’étais déja tiré du continent mais apparament t’es toujours dans la même ville.
John fronça les sourcils à son tour, ce Claude penssait qu’il était recherché. Ah. Et bien, cela était intéressant après tout.
-Et pourquoi ?
John s’étonait lui même, il venait de poser une question. Lui qui préférait les garder pour lui, avait enfin osé en dire une. Il n’avait pas dit ce genre de phrases depuis...
-Pour son plaisir personnelle ! Ce mec est dérangé et il veut se prouver qu’il est capable de faire des trucs, ou peut être qu’il savait pas quoi faire et qu’il a décidé de se défouler sur toi. Et...Mais ? Je suis bête, je suis en train de te dire ce que tu sais déja.
Ce que racontait ce mec était totalement impossible, inssenssé. Mais après tout, il parlait bien à un fou. Ce qu’il disait aurait fait un bon roman. Est ce que les écrivains sont fou ?
-Et je suis qui ?
-T’es amnésique ou quoi ?
Pas du tout ! John se rappelait bien de ce qu’il avait fait hier, il avait un passé. Il n’était donc pas du tout amnésique, mais cette homme penssait qu’il était quelqu’un d’autre ce qui est très désagréable.
-Je suis pas la personne que tu connais. Ok ? Je dois peut être lui ressembler.
Claude éclata de rire comme si John venait de raconter une blague particuliérement drôle. Ce qui n’est pas le cas.

-À part si t’es identique à la personne que je crois que t’es. T’as complétement déraillé, mec. Heureusement que j’ai l’habitude de tes blagues, j’imagine même pas si un nouveau...
-Non ! Je suis sérieux ! Je ne sais pas qui tu es, moi je travaille dans un vieux super marché en tant que caissier.
Claude s’enfonça dans son siége les mains dans son visage.
-ça commence à m’agacer ! Ca devient presque...inquiétant. Mec, ça me fait flipper. Fais moi pas ça pendant un jour comme ça !
-Ok, je te jure que je ne suis pas la personne que tu crois que je suis. J’ai mal dormit, ok ? Je suis crevé ! Et j’aimerais bien dormir un peu.
Claude soupira, d’un long soupure très audible.
-Ok, je me tais. Mais je suis O’Brian, Claude O’Brian...Et si tu fais une remarque avec Chloé O’Brian...
-Sur qui ?
-Non, personne.
John s’insstala confortablement dans son siège, il allait enfin pouvoir se reposer et surtout dormir. Certes pendant quelque minutes, mais c’était assez. Il ferma ses yeux.
-Terminus ! Tout le monde descent !
John n’avait jamais de chance. Le bus se vida aussitôt, John mit du temps avant de se lever. Pour profiter de ses dérniéres minutes de repos, enfin de ce mini repos. Il ne savait pas si il allait réussir à rester debout toute la journée. En tout cas, il ne le penssait pas. O’Brian avait disparut, John ne l’avait même pas vu se lever et courrir vers la sortie. Bon débarras.
-Vous comptez vous lever ? Ou vous voulez encore crier ?
Il ne répondit pas, pourquoi aurait il cherché encore plus de problèmes. John se leva, après tout il avait tout vu. Il le penssait.

Il sortit tranquillement du bus, tout le monde était déja sortit. Il pouvait prendre tout son temps et surtout ne pas bouger trop vite. Car, une fois qu’il sera dehors il sera obligé de supporter des clients nerveux, un patron nerveux, les autres caissiers nerveux. Tout ce qu’il n’aimait pas...Mais tout n’allait pas bien se passer.
-Et toi ?
John se retourna lentement pour apercevoir deux hommes tout en noir qui étaient plutôt musclé. Mais qu’est ce qu’il allait encore lui arriver ?
-Qui ? Moi ?
Les deux hommes s’arrétérent le plus prés possible de John, cest à dire qu’ils pouvaient sentir son haléne putride, il n’avait pas eu le temps de se laver les dents voyez vous. Un des hommes cracha sur le sol puis répondit froidement
-Ouais ! Tu penssais que t’allais pouvoir nous battre ! Sale sournois...
-Sournois ? demanda John
Il écoutait ce qui disait l’homme d’une seule oreille, il préférait entendre de l’autre sa propre voix dire “T’as pas de chance, t’as pas de chance”.
-Ouais ! Je vais te donner la définition, man. Quand je te dis que t’es sournois c’est parce que t’es sournois !
-Tu sais pas c’est quoi une définition ?
-Quoi ? Eh tu l’insultes ? dit l’autre homme en mimant un coup de tête.
-Non, c’est juste qu’il n’a pas donné de définition alors que...
Un des hommes attrapa le bras gauche de John et l’autre le bras droit et le trainèrent vers une camionette. Tout ce passait trop vite et mister quelque chose ne comprenait pas ce qui se passait. Bien sûr c’était un kidnapping, très mal organisé mais ça reste ce que c’est. Les hommes le balancère violament dans le véhicule puis ils entrèrent dedans à leur tour. John était étalé sur le sol, il saignait du nez. Il n’avait pas assez de force pour se lever et attaquer les deux hommes. Et même si il avait essayé, ils l’auraient remis à terre facilement.
-Et ? Quèz qui ze paze !
Un des hommes lui mit un coup de pied dans le ventre ce qui voulait dire, attention traduction “La ferme ! Je suis trop shooté pour pouvoir te répondre”.
-Tu parles pas ! Tu bouges pas ! C’est pas si dur que ça ?
-Et zi...Et si je te tues simplement par la force de mon regard ? Je peux.
L’homme qui l’avait frappé n’hésita pas à recommencer encore une fois. John cria de douleur, d’une nouvelle douleur. Maintenant il avait mal au nez et au ventre, ce qui était très...désagréable.
-Tu crois que tu peux faire de l’humour ? Hein ?
Non, c’est juste que en moment de grand stress, il faisait tout passer avec l’humour. Ce qui ne faisait que d’agraver la situation.
-Qu’est ce que vous allez me faire ? Me tuer !
-On n’en sait rien, on nous a demandé de te ramener. On te raméne ! On se complique pas la vie. Le corbeau veut te voir...
Tout d’un coup il se rappella de sa converstation avec O’Brian, il avait dit que ce corbeau le recherchait. Mais cet homme était fou ! Peut être pas après tout, ce qu’il disait se confirmait. Mais il ne faut pas oublier que Claude le prenait pour une autre personne, et apparament ces hommes aussi.
-Vous êtes en train de vous tromper de gars...
-On se trompe pas ! On a vu ta tête sur une photo et quand on a vu la vidéo, on a direct su que c’était toi. Et en plus c’est toi !
-Quelle vidéo ? Et...C’est pas possible ce que vous dites, je suis juste caissier moi ! Pas du tout la personne que vous...
Un des hommes lui mit un autre coup de pied, ce qui fit encore crier John qui ne savait si il allait encore tenir beaucoup de temps avant de sombrer dns l’inconsience.

Chapitre 2 : Pourquoi les situations étranges sont toujours accompagné d'action ?
Première partie

« Maman ? »

Ce fut le seul mot que John put prononcer quand il se réveilla d'un long sommeil appaisant. Il resta pendant quelques instants dans un êtat second , pensant à sa mère qu'il n'avait jamais connut...Et du brouillard , il était entouré d'un épaix brouillard. Et il observait la grotte du déséspoir , une femme se tenait devant l'entrée et elle dansait. Sa robe flottait dans le vent. Oh , le temps était affreux mais la femme n'avait apparament pas du tout froid. En s'approchant on pouvait voir qu'elle tenait un enfant dans ses bras , un nouveau né. Qu'il était beau avec son sourire édenté ! John dansait aussi , il entendait de la musique et il était heureux devant cette grotte qui animait ses cauchemards. Que c'était étrange de se retrouver ici sans que ça soit un cauch...Mais soudain la jolie femme , car elle était jolie arreta de bouger. Elle était fixé sur le sol , triste. Des larmes coulèrent sur ses joues. Ses yeux mouillées étaient magnifique. Si magnifique qu'il voulait réconforter cette femme , la serrer dans ses bras , l'embrasser...Elle lacha l'enfant. Le nouveau née pleura et cria sur le sol. Il y avait tellement de larmes que tout était plongé dans l'eau et l'enfant se noyait dans ses propres larmes. La femme ne le sauva pas , elle pleurait toujours. Encore et encore. John ne pouvait rien faire , il était témoin de ce malheur mais ne pouvait qu'observer. Jusqu'à que l'enfant ne bougea plus et que la femme tomba raide morte pour flotter sur l'eau jusqu'à qu'il ne reste plus rien d'elle sur terre.

John se réveilla en sursaut , il ouvrit ses yeux pour apercevoir l'obsucurité. Tout était noir ! Comment...Était il devenut aveugle ? La femme et l'enfant...Ce n'était qu'un cauchemard ! Rien d'autre. Et il était là assis sur une chaise apparament , plutôt fixé par une corde. Enlevé , on l'avait enlevé sans qu'il puisse dire un mot après cette rencontre...Et il ne voyait rien , il était aveugle ! Pourquoi , comment ? Il sentait la chaise , la corde qui lui serrait les mains et...Oui il pouvait sentir quelque chose sur sa tête. Un sac ! Comment n'y avait t'il pas pensé plus tôt ?! Il était soulagé enfin si on peut le dire. Mais sa panique avait caché sa douleur , il avait affreusement mal. Il saignait surement , beaucoup même ! Il devait faire quelque chose. Oui mais quoi ? Avait t'il un jour pensé qu'il allait être enlevé ? Non , sa principale préocupation était de ne pas rater la diffusion de sa série préféré. Parfois ça pouvait changer , mais ça n'avait rien avoir avec un enlevement ! Qui voudrait de lui ? Il était impossible de faire une rancon , il n'avait pas de famille et pas d'amis ! John sans nom n'était qu'un moins que rien. Même pas fichut de courir cent métres sans réspirer comme un âne ! Alors , pourquoi fichtre voulait t' on l'enlever ?

« Eh ! On dirait que le héros est agité. » grogna un des hommes qui avait enlevé John

Ce que venait de dire l'homme rendait John encore plus nerveux. Héros ? Lui...Il y avait surement une erreure. Oui la solution était là , on l'avait prit comme quelqu'un d'autre ! Comme l'homme dans le bus , l'étrange O'Brian. La question était allait on le relacher ? Rectification , il ne fallait pas que John se pose la question.

« Qu'est ce qu'on fait boss ? » il y eut un petit silence qui sembla être une éternité pour John « Ok , boss ! »

Et on lui retira le sac de sa tête.

La lumiere était aveuglante , John cligna des yeux pour que ses pubilles s'habituent. Il avait surement passé beaucoup de temps sous ce sac noir. Tout devenait plus clair petit à petit. John se trouvait dans une petite salle , une forte odeur de tabac flottait dans l'air. Qu'est ce qu'il détéstait ça John , cette odeur ! Surement à cause de son passé. Un bureau se trouvait devant lui , remplit de paperasse en tout genre. De journeau , de magasines , de dossiers qui était parfois étallé sur le sol. Les murs étaient d'un rouge de jets , John avait l'impression que du sang coulait. Des tableaux étaient accroché aux murs où était représenté des coffres forts , des sacs d'argent. Le plus étrange restait celui de la femme sans visage. Mais il y avait beaucoup plus étrange que les tableaux ! Dérriére le bureau se trouvait un homme qui portait un costard cravatte de pingouin , son visage était caché par la fumée de son cigare.

« Voilà enfin celui qu'on appelle l'Intrapable !? Oh , je pense que tu devras changer ton surnom en l'Incapable ! » s'exclamma l'homme au costard , sa voix était horrible. John avait l'impression d'entendre un âne a l'agonnie.

« Très bien trouvé Boss ! » dit un des enleveurs en riant bêtemment

John observa ses deux kidnappeurs , un se trouvait à droite et l'autre à gauche. Ils avaient l'air si stupides! Deux chiens de chasses ont surement un regard beaucoup plus remplit de vie que ces deux énérguménes.

« Je n'ai pas besoin des compliments d'un imbécile comme toi ! Le fait que vous ayez réussit à le capturer m'étonne déjà assez comme ça. D'ailleurs je me demande si vous n'avez pas été aidé ? Avez vous été aidé ? »

« Non , non ! Bien sur que non , ça à même était facile. Hein , Jeonnie ? » l'homme fit signe à son partenaire qui n'avait apparament pas très envit d'être mélé à la stupidité de son coécipier.

« Heu...Ouais , on a juste eu à le chopper à la sortie du bus. Pas vraiment été complqué. Ouais , c'est étonnat vut le personnage ! » répliqua Jeonnie géné

Comment ça « vut le personnage » ? On le prenait pour un super héros justicier et musclé !? Comment ont ils pu se tromper , il ne ressemblait pas du tout à ce portrait là !

Soudain l'homme au cigare ria d'un long rire aigu , l'entendre était une torture.

« Oui , très étonnant ! Même que je ne vous crois absolument pas , vous avez été aidé par je ne sais quelle organisation ! Je n'aime pas qu'on sache ce que je fais , et surtout pas qu'on le dise à ces stupides cellules de stupides malfrats qui vont se presser de le raconter sous tout les toits ! Mais ce n'est rien par rapport au menonge , je hais qu'on me mente ! »

« Mais... »

Le boss sortit de sa main libre un revolver et tira deux fois. Les deux enleveurs venaient de se faire prendre la vie par une chose beaucoup moins forte qu'elle mais qui avait une force intérieur surpuissante. Un revolver

Les deux hommes tombérent comme des crépes sur le sol , bien que la comparaison soit stupide. Comment pouvait t'on comparer une crêpe , aliment délicieux qui ne pesait pas plus de quelque grammes à des vermines de plusieurs centaines de kilos ?

Le tueur pouffa de rire , il avait l'air satisafait de son acte.

John lui ne bougeait plus...La mort de ces hommes était senssé le rendre heureux. Satisfait de voir que les hommes qui sont la source de son problème sont réduit à ne plus vivre. Mais John connaissait trop bien la mort , il en avait peur. Ces hommes aussi stupides et puant soient ils avaient surement une famille qui n'avait aucun rapport avec leurs activités. Peut être même des enfans qui ne reverront plus jamais leurs pères. Enfants qui n'auront plus que le souvenir d'un homme s'en allant travailler. Peut être qu'ils avaient des amis , qui perdront une personne proche...La mort de ces deux hommes était en plus stupide. Comme toute les morts après tout...John n'osa pas regarder les corps , il sentait qu'ils étaient tout prés de lui , sans vie avec des yeux qui ne pouvait plus voir la lumiére du jour.

L'homme au cigare ricanna encore , il était définitivement très heureux de ce qu'il venait de faire. John haissait cet homme sortit tout droit d'un mauvais film de super héros. Et ne pas voir son visage était agacant. John n'eut pas le temps de se demander comment pouvait bien être le visage de l'homme car à présent il pouvait l'observer. Oui , il avait posé son cigare. La fumée disparaissait pour qu'on puisse découvrir le visage d'un homme ridée avec de petits yeux percants , sa peau était verte...Enfin pas tout à fait. Il avait un grand nez crochu et une grande bouche. Son costard cravate le faisait ressembler à un pingouin...Soudain John se rappella ce que lui avait dit l'homme , O'Brian , il lui avait parlé d'un pingouin qui le voulait...C'était surement cet homme. Donc , le pingouin et O'Brian l'avait tout les deux prit pour quelqu'un d'autre ? Et si c'était vraiment lui qu'ils voulaient après tout...

Le pingouin se leva en bougeant étrangement ses épaules comme si il ne s'en était pas servit depuis plusieurs années. Il était très petit aussi...John avait peur ,d'après le regard remplit de dégout que lui donnait le pingouin , il pouvait déduire qu'on ne lui voulait pas que du bien. John préferrait l'homme quand il avait le visage caché par son cigare.

Le pingouin frotta ses mains en s'approchant de John , il le regardait de tout les côtés comme un plat suculent qu'il allait bientôt avaler.

« Tu te croyais plus fort que moi ? Tu pensais que tu pouvais m'effrayer ! Tu te trompais , tu as seulement allumé en moi une rage intensse ! Oui , il se peut que tu connaisses mon passé. Mais tu ne m'effraie pas car tu n'es qu'une vermine...Tu m'entends ?! » dit le pingouin en se frottant les mains avec rage.

John ne savait pas quoi dire , aucun mots ne pouvait sortir de sa bouche. La situation était beaucoup trop incroyable et pourtant il la vivait , il devait changer sa notion d'incroyable...

« Je...Vous êtes dans l'erreure. Je ne sais pas qui vous êtes.... »

Voilà les premiers mots qu'articula John. Des paroles stupides , il n'avait pas du tout l'air convaincant et pourtant il ne disait que la vérité. Mais le pingouin ria étonné de ce que John venait de dire. Quelle rire affreux !

« Tu crois vraiment que je vais te croire ? Tu es très pathétique quand tu le veux tu sais ça , non ? Me faire croire que tu ne sais pas qui je suis alors qu'on est de si bon amis tout les deux. Oublierais tu que je l'ai tué ? Hein , ça te torture que je te rappelle ça ! Avoue le ! »

John se sentait dépassé , il n'avait aucune idée de ce que racontait le pingouin. Qui a t'il tué ?

Chapitre 2

Deuxième partie : Tout à été écrit hier soir alors escusez moi la mauvaise qualité du passage , bien que j'aime bien la fin de celui là

John ne voulait plus rien écouter , sa seule envit était de partir. De s'enfuir. Mais surtout de courir , toujours courir jusqu'à que ses jambes deviennent de la boue...Qu'il oublit tout et qu'il ne pense qu'à courir. Plus jamais de problèmes , mais toujours cette course interminable...John avait envit de pleurer , mais aucune larmes voulait venir couler sur ses joues. Ils restraient sur ses yeux pour mieux observer ce qui se passait. Mais qu'est ce qui se passait ? Quelque chose de stupide et de révoltant...Il voulait dire à cet homme de la fermer , de le laisser en paix ! Mais bien sur il ne le pouvait pas , car il ne parlait jamais...Il pensait toujours , cela le pourrissait. Ses pensées s'entassaient dans son âme sans bouger , sans parler. Cela aussi était stupide , comme John. Il pensait être stupide , bon à rien. Sa vie s'est finit ce soir là dans cette fouttut grotte , il aurait dut mourir...Si il avait sut.

Il ne servait donc à rien , ces gens pouvaient le tuer. Il savait qu'ils avient l'intention de le tuer. Mais il ne voulait pas y penser , mais étrangement c'était la seul façon pour que ça devienne une obsession. Ne pas y penser. Ils vont me tuer , ils vont me tuer. Et bien tant mieux ! Il n'attendait que ça , il ne voulait que ça. Que ça se termine , il ne servait plus à rien...Qui voulait de lui ? En ne comptant pas cette bande de psychopates , ou plutôt de pingouins. Ce qu'il voulait , c'est que ça se passe vite...

« Tuez moi. » lui dit John , les larmes avaient enfin décidé à couler , beaucoup trop de larmes d'après lui. « C'est ce que vous voulez , non ? Alors , faites le. Et arretez de jacasser... »

Le pingouin essaya de prononcer quelques mots , il bougea sa langue dans tout les sens. Puis il posa ses deux grosses mains dérriere son dos. Puis son épaisse bouge souria. Quel horrible sourire...

« Tu essayes de jouer avec moi ? Ne me mens pas...Tu n'as même pas essayé de te détacher. Ce qui aurait été simple , très simple pour toi. Mais tu veux me faire penser que tu n'es pas Ewan ! Mais , je ne suis pas aussi bête que ça. J'en suis désolé. »

Ewan...On l'avait appellé Ewan. Est ce que cela voulait dire qu'on le prenait pour cette personne ? Après tout , quelle importance...On allait le tuer. Qui pleurera de lui ? Au boulot personne ne se plaindra de lui , on ne remarquera surement pas son absence. Tant mieux. Et puis , si ils le tuent à la place de ce Ewan. Cela sauvera cet inconut qui veut surement vivre , lui.

« Tuez moi... »

Le pingouin semblait douter...Que ça ne dure pas , il voulait que tout s'arrette et vite. Le pingouin arreta soudainemant de bouger comme frappé par l'éclair ( si seulement ça pouvait se passer ). Pourquoi ne bougeait il plus ? Il n'avait que ça à faire ce monstre. Il ne pouvait pas tuer John tranquilement et rapidement ? Était ce trop demander ?

L'homme s'avança rapidement vers John. Est ce que c'était le moment ? Il allait le tuer...C'était la fin. Y'avait rien après , comment est ce qui pouvait y avaoir quelque chose ? Du noir. Non même pas. Rien. Rien du tout , car il ne sera plus là. Il ne sera nul part. Le pingouin se mit dérriere la chaise où se trouvait John. Ce dernier n'osa même pas retouner son visage. Il ne voulait pas que la dérniere chose qu'il ai vut soit ce pingouin...Maintenant il attendait. Comment est ce que ça se passait la mort ? Est ce qu'en une seconde tout s'éteignait comme on éteint un feux ? Comment pourrait t'il le savoir , il n'était pas encore mort. Mais au lieux de sentir la mort se propager dans son corps , il sentit la corde qui l'attachait à la chaise se dénouer. Non , ce n'était pas ça la mort. Est ce que John s'attendait à ça ? Bien sur que non ! Le pingouin le détachait. Pourquoi ? À quoi bon se poser la question il allait bientôt connaître la réponse. John regarda ses mains. Bouger ses doigts le faisait souffrir. Et est ce que c'était des doigts ? Ça ressemblait plutôt à du carton pourris. Du sang coulait dessus , c'était répugnant. Aller travailler n'était pas si mal après tout...

« Léve toi »

La voix du pingouin était devenut calme et seraine , presque envoutante. John aurait bien voulut obéir , mais ses membres préferaient rester de marbre. Bouger ? Cela lui semblait si difficile ! Il était comme fixé sur le sol , son cerveau ne voulait plus lui obéir. John pleura en silence sans entendre le pingouin lui ordonner de se lever. Car il ne voulait plus rien faire , car il avait abandonné. Il se demandait comment il avait put en arriver là ? Et pourquoi ? Encore une question inutile. Mais aujourd'hui n'était pas le jour où John allait mourir.

« Léve toi ! »

Non. Et pourtant il se leva. John sentit son corps se révolter contre lui. Il souffrait beaucoup , il oublia un instant où il se trouvait. Sa douleur l'avait soulagé si on peut le dire. Mais il s'habitua à avoir mal , beaucoup trop vite. John regrda le sol qui était aussi rouge que les murs , puis il se résigna à regarder devant lui. Le pingouin était là devant lui droit comme un porte manteau , une arme en main. Qu'est ce qu'il était petir ce pingouin...Mais l'arme le rendait puissant et beaucoup plus grand.

« Tue moi » c'était le pingouin qui venait de prononcer ces mots en mettant son revolver dans la main droite de John , ce qui lui fit très mal. « Vas y , c'est ton jour de chance ! Tues moi ! »

L'arme brulait dans la paume de John. Il n'arrivait pas à réaliser ce qui se passait. C'était stupide , trop stupide pour être vrai. Il pouvait tuer le pingouin. Mais est ce qu'il allait le faire ? Voilà une question interessante , enfin une ! C'était pourtant simple , si simple. Appuyer sur la détante , aller un peu de courage ! Mais ça n'avait rien à voir avec du courage , il fallait de la volonté. Et John n'en avait pas. Il avait envit de tuer cet homme , bien sur. Il le voulait , alors pourquoi ne pas le faire ? Fichtre , John n'en savait rien. Il n'en avait aucune idée...Le pingouin semblait se réjouir devant le doute de John. Il trouvait surement ça amusant...Une raison de plus pour le tuer ?

« Allez ! Est ce que c'est difficile ? Non ! Et t'en à déjà tuer des gens pas vrai ? Un « méchant » de plus , ça ne change rien ? En plus le tueur de ta...Qu'est ce que tu fais ?! » John venait de lacher larme , il ne pouvait pas tuer. C'était bien trop difficile pour lui. Il sentit comme une boule dans son ventre , il voulait vomir à la simple penssée d'avoir put tuer...Qu'est ce que ça aurait été si il avait été jusqu'au bout ?

« Mais à quoi tu joues ? HEIN ?! Pourquoi tu fais ça ! T'AURAIS PUT TIRER , ESSAYER ! Où tu savais qu'y avait pas de balle dedans ? Ouais surement... »

Pas de balle ? Il n'y avait pas de...Tout ça n'était qu'un jeu pour le pingouin. John souria , un bref sourire de dégout. Il voulait se ruer sur le pingouin et le rouer de coups , beaucoup de coups. Une haine immensse anima son regard. John serra les poignts , bien que ça soit très douloureux. Le pingouin appela quelqu'un de son horrible voix tout en observant John de haut en bas. Il le surveillait ? Qu'est ce que John pouvait bien faire ? Il n'était plus rien.

Un homme entra dans la piéce , qui devait surement être le bureau du pingouin. Ouais , surement. L'homme qui venait de rentrer était vieux. Qu'est ce qui pouvait bien faire ici , sous les ordes de ce cinglé ? Encore une question , inutile celle la. Le pingouin fit un signe de la tête pour montrer John au viellard « C'est lui Pierro » ajouta le pingouin. Pierro ? Ce nom faisait penser à la plage , aux vagues...Et le sable chaud sous les pieds ! Pierro agrippa le brad gauche de John , l'homme agé avait une bonne poigne. Il avait surement l'habitude d'aggriper des gens. Pierro traina John en dehors de la salle pour le guider dans des coulors étroit éclairé par quelques lampes. Il n'y avait pas vraiment de portes et le couloir semblait de pas s'arreter. Tant mieux , il ne voulait pas que ça s'arrette. Mais , pourquoi est ce qu'on l'emmenait autre part ? La question avait surgit dans l'ésprit de John et cela le troublait comme si un virus était en train de le ronger. Oui où allait il ? Pourquoi le pingouin le voulait ? Non , il le prenait pour ce Ewan. Qui était il ? Pourquoi le pingouin ne l'avait pas tué ? Tout aurait put se finir en douceur ! Est ce que Pierro répondrait à ces questions si il en posait ? Et bon sang qu'est ce qu'il avait mal !

« Eh ? Pierro...Je suis qui ? »

L'homme n'avait apparament pas entendut...Non , il faisait semblant de ne rien entendre. Il devait aussi avoir l'habitude des questions. Il n'avait pas le droit de répondre , bien que la question soit innofensif. Soudain il vit où on l'emmenait.Une cellule se trouvait à sa droite. Toujours dans le même long couloir interminable. Pierro l'ouvrit et le lança dedans. John était à présent dans une petite cellule carré. Il y avait un petit lit posé sur le sol qui ne semblait pas très comfortable. Mais c'était mieux que rien. John se posa le plus lentement possible sur le lit. Qu'est ce qu'il avait mal ! Qu'est ce qu'il avait...Le sommeil l'emporta rapidement , un long sommeil paisible. Qu'est ce que ça faisait du bien de se reposer , d'être autre part que sur terre. Dans un autre monde où tout était paisible. John ne revait pas , il se sentait flotter sur un nuage. Oh , que c'était si opposé de la réalité. Il traversait le monde en haut dans le ciel , si loin des problèmes des hommes. Le vent frottait son corps nu comme une caresse des Dieux. Il ne voulait pas que ça s'arrete...Il aimait bien son petit nuage , son petit confort , son petit monde.

« Eh ? »

Non , pas maintenant ! Laissez moi sur mon...Mais le nuage venait de dissparaitre , la douleur revenait hanter son corps comme le pire des cauchemar. Ses yeux était en train de s'ouvrir. Il savait qu'il n'allait plus retrouver son nuage. Car les rêves ne durent qu'un temps. John regarda au dehors de sa cellule. Un homme au visage famillier se tenait devant , il paraissait inquiet. Enfin quelqu'un qui l'était aussi !

« Eh ! C'est Claude ! Tu sais ? Non...? Claude O'Brian l'homme du bus ! Tu te rappelles ?! Vite léve toi , on a pas beaucoup de temps Ewan nous attend ! »