Lire et écrire
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Lire et écrire

Vous parlez de vos livres coups de coeur et vous montrez vos écrits.
 
AccueilPortailRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
-45%
Le deal à ne pas rater :
PC Portable LG Gram 17″ Intel Evo Core i7 32 Go /1 To
1099.99 € 1999.99 €
Voir le deal

 

 Champion.

Aller en bas 
AuteurMessage
Era
petite plume
Era


Nombre de messages : 47
Age : 33
Localisation : Dans le Royaume de l'écriture
Date d'inscription : 04/06/2007

Champion. Empty
MessageSujet: Champion.   Champion. Icon_minitimeMar 10 Juil - 6:04

Champion



Je cours… je cours jusqu'à l'épuisement, je cour sans jamais m'arrèté, sans jamais me retourné je cours vers mon future, vers la victoire. Le ballon rebondi, une fois, deux fois je shoute mon lancé franc… et je marque ! Levant les bras au ciel, laissant éclaté ma joie, je cour je vole, j'embrasse mes amis qui me porte en triomphe… avant, j'étais comme ça, mais jai changé… ou plutôt je suis redevenu moi…
Je me souvient, avant de commencé a joué dans l'équipe du basket du lycé, j'étais également très populaire, j'avais plein d'amis, et je ne me posais pas de questions, je jouais et je rigolais tous simplement… on me respectait a la cité et beaucoup de jeune m'admiraient… je me souvient d'un garçon qui me suivait partout… ou du moins je m'en souvient a présent, car grâce a lui si je suis redevenu moi…
Dans le monde d'ahui il y a beaucoup d'enfants qui aimerais pratiqué un sport, du foot, du basket… mais parfois surtout dans les cités comme celle dans laquelle je vivais avant, les parents n'ont pas toujours de quoi payer ce rêve à leurs enfants… ce ci finissent malheureusement par volé, dégradé, agressé la population…
Je dois avoué que lorsque je suis arrivé dans l'équipe j'ai un peut oublier tous ces problèmes… je ne m'en préoccupais plus, je peut le dire je m'en fichais littéralement. J'étais sans doute un peut égoïste, mais on réagis malheureusement tous ainsi, c'est vrais vous pouvez l'avoué vous aussi vous vous fichez de ce que peuvent faire les autres tant que ça ne vous atteint pas et que l'histoire ne vous consterne pas vous vous en préocupé pas, vos vivez votre vie c'est tous. Vous entrez dans le cercle de ceux qui ont et vous n'imaginé même pas comment pourrais être ceux du cercle de ceux qui n'ont pas.
On est tous pareil !
Mais moi je n'était pas seulement comme ça, je jouais, je gagnais, j'aimais ça et je me fichais du reste et des autres… c'était ma victoire. Mais je n'est pas toujours été comme ça… non je vous assure c'est vrais ! J'ai vraiment changé lorsque j'ai fait une rencontre inatendu… je sortais de mon entraînement, lorsque ce petit gars de 13 ans que je n'avais pas revus depuis tellement longtemps que je ne me souvenais même pas le conaître, m'a accosté. J'ai honte de le dire aujourd'hui mais je ne l'ais ni reconnu ni respecté. J'avais 17 ans, j'étais le champion de mon école… lorsqu'il est venu vers moi avec son sourir d'ange, je lui ais simplement répondu froidement :
- Dégage de là, je signe pas d'autographe après 18h.
Oui bon je sais, je me prenais un peut trop au sérieux a l'époque… aujourd'hui, je regrette. Le sourir du garçon a vite disparut il me regardait malheureux. Je lui ais donc ajouté :
- Allé p'tit rentre chez toi.
Le gars ma regardé de nouveau, puis avec un petit sourir rusé il ma répondu :
- J'habite a la cité Grobet, et j'ai qu'une seul envie c'est de joué au basket…
Je l'ais dévisagé, Grobet… je la connaissais comme ma poche cette citée, j'y avait passé une bonne partie de ma vie… mais je ne faisais plus partie de ce monde.
- Il fait nuit, rentre chez toi, le ballon et le champion ont besoin de se reposé.
- Je m'en fiche qu'il fasse nuit, et passé un moment tu t'en fichais aussi, tu jouais jusqu'à pas d'heure, a faire vibré le cœur de es spectateur, et de tes joueurs.
Là c'était a mon tours de le dévisagé, qui était ce garçon qui savait tellement de chose sur mon passé a la cité…
Je me suis contenté de le dépassé et de continué mon chemin. Les mains dans les poches, je suis rentré chez moi, le sac sur les épaules, les écouteurs de mon MP3 dans les oreilles, chantonnant sur un aire entraînent…
Je suis entré dans la banlieu, j'ai mis les mains derrière la tête en marchant sur le trottoire. J'ai birfugué a droite puis entré chez moi. J'babitais dans une grande maison avec garage et jardin… quelque anné plutôt on aurait jamais imaginé s'offrir une telle demeur. Pourtant quand j'ai commencé a me faire conaître en tant que basketteur, mes parents se sont séré la ceinture pour que l'on vienne habité ici. Ils voulaient le meilleur avenir pour moi. À l'époque mon père était au chômage… mais présent ça va, il a retourvé du travaille et on vit assez bien. La menace de retourné a la cité Grobet s'était dissipé.
De retours a la maison je me suis précipité sur mon ordi, l'ais allumé pendant que j'allais allumé ma chaîne je me suis assis devant mon bureau et est passé une bonne partie de la nuit derrière mon écran, a regardé des vidéo, a catché a glandouyé quoi…
Au petit matin seulement je me suis allongé sur mon lit, j'ai fermé les yeux pour me réveillé a 14h. ( Ce jour là nous n'avions pas cour.) Comme d'habitude ma mère est un peut partie après parce que je m'étais encore couché trop tard je me suis contenté d'esquivé le sermont et d'allé a mon entraînement.
Depuis tous petit je joue au basket, déjà a Grobet je jouais avec les plus grand, défiant les plus téméraire.
Je driblais, faisant rebondire le ballon, le passant entre mes jambe, feinte et choute !
A cette époque je m'amusais bien, j'adorais ça, je jouais… pour joué, pour m'amusé. Je gagnais souvant, mais peut m'importait, on était ensemble…
Aujourd'hui tout à changé, il faut gagner, gagner a tous pris… et je gagnais, j'aimais ça… enfin, c'est pas pour autant que j'étais heureux… je crois que avant cette rencontre avec Eric, j'avais oublier la véritable raison pour laquelle je jouais au basket… parce que j'aimais ça, un ballon entre les mains, sur un terrein, l'adrénaline qui monte, le plaisir de s'amusé, de prendre un ballon et de l'envoyé dans le cercle… j'aimais ça.
Quand je suis arrivé devant le gymnase, tous le monde était agglutiné devant les portes
- Que se passe t-il ? ai-je demandé.
- Il n'y a pas entraînement la salle est prise, a répondu l'un de mes camarades.
- On a qu'a allé sur le terrain du scuar, a proposé un autre.
On a tous trouvé cette idée géniale, et on y est allé, enfin moi je la trouvais pas si géniale que ça… on parlait tous du prochain match du lundi soir, de l'arme secrète que l'on avait mises au point. Puis on est arrivé sur le terrain, il était un peut misérabl, mais super pour s'entrainé. Le seul problème c'est qu'il était déjà occupé…j'aurais du m'en douté. Des mômes de la citée Grobet y jouaient…
Ah, je ne vous l'avais pas précisé ? Ce terrain était le territoire de la citée Grobet, c'était l'endroit où gamins je m'amusais pendant des heures, et où j'ai passé les meilleurs années de ma vie. Devant nous en groupe les jeune de la citée nous toisaient, j'y reconnu le garçon qui m'avait accosté la veille, il détourna la tête…
- Tirez vous de là les mioches, a lancé Ralf notre ailié.
Les gamins gamins ce sont rebifé, les plus vieux se sont eux avencé.
Julien, l'un d'eux nous regarda de haut, dans le passé, je le connaissais bien Julien, il était mon meilleur ami. Mais ces temps là était lointains a présent.
- Qu'est-ce que vous voulez ? demanda-t-il un ballon entre les mains le ton calme.
- On veut le terrain, a lancé Ralf.
Sentant que la converation tournait mal, je me suis avencé, prenant la parole.
- Salut Julien ! On aimerait utilisé le terrain pour s'entrainé.
- ce terrain est déjà occupé, retourné dans vos quartier les gosses de riches ! s'est écrié un des ami de Julien.
Avant que vous ne posiez la question, non on était pas des gosses de riche, mais quand on vit dans la citée, tous ceux qui n'y sont pas sont riche.
Julien a levé la mains ramenant le calme sur ses rang.
- Cassez vous, a dit Julien, ici le terrain est a nous, et toi, a-t-il ajouté en s'approchant de moi… je ne veut plus te voir ici, tu n'es plus le bienvenu. Puis il ma poussé sans pitié. Je suis tombé sur les fesses, regardant toujours Julien dans les yeux, mes amis m'aidèrent a me relevé et on est repartie, sans quitter le groupe adverse des yeux. Je serais pas comment vous l'expliqué, mais le comportement de Julien m'avait déçut.
Revenir en haut Aller en bas
http://jeunesecrivain.niceboard.com
Era
petite plume
Era


Nombre de messages : 47
Age : 33
Localisation : Dans le Royaume de l'écriture
Date d'inscription : 04/06/2007

Champion. Empty
MessageSujet: Re: Champion.   Champion. Icon_minitimeJeu 12 Juil - 9:46

( suite )

Ce soir là je me suis couché tôt, allongé sur mon lit, les yeux fixé au plafond, regardant les heures passé. Je n'arrivais pas a dormir. Je me suis donc levé faisant signe d'allumé mon PC. Mais au dernier moment je retint mon geste et je suis allé m'habillé, j'ai pris mon ballon, puis sans un bruit, j'ai quitter la maison, me dirigeant vers le scuar. Je sais, ma désision peut vous paraître bizarre mais j'avais une envie folle d'allé là bas.
j'ai commencé par chouté deux trois panier, puis j'ai commencé a courir, je me suis défoncé. Mon but premier n'était pas de marqué, mais bien de me défoulé, d'évacué toute mes forces contre le panier. Lorsque je suis arrivé au stade de la fatigue physique, je me suis arrêté m'allongeant au sol sur le goudron tiède, a regardé les étoile. Je suis resté ainsi pas mal de temps, puis jai entendu des bruits, des éclats de voix qui approchaient. Au départ, je ne m'en préoccupais pas, puis lorsqu'un des gars, m'a demandé d'une voix forte ce que je faisais ici, je me suis relevé et els ais regardé.
- On n'avait pourtant dit a Julien que tu n'était plus le bienvenu ici, a dit l'un des colosses en s'avan vers moi…
- Je… alors Julien ne m'avait pas repoussé de son plein grès ? À je ne faisais que joué au basket, le terrain est a tous le monde…
Les quatre hommes n'ont rien voulu savoir, ils se sont avencé vers moi, l'un d'eux est venu par derrière, puis il ma soudain empoigné par la taille, m'empêchant de bougé, tendis que les autres… enfin je vais pas vous faire un dessin j'ai meurflé.
Lorsque j'ai rouvert les yeux, j'étais allongé sur un lit, l'aire un peut perdu, mais j'ai reconnus très vite, j'étais venu tellement fois ici…
- Ça vas allé ? m'a demandé la voix de Julien a coté de moi.
- Je semble toujours en vie, alors je dirais que oui.
Julien eu un sourire, et me dit :
- Je t'avais prévenu que tu n'étais plus le bienvenu ici. Imagine toi ce qui se serait passée, si on ne les avaient pas fait fuir…
- Dans ce cas je dois vous dire merci ?
Julien ne répondit pas.
- Qu'est-ce que tu faisais sur ce terrain en plein milieu de la nuit ? a t-il demandé.
- Je n'arrivais pas a dormir, ai -je répondu en haussant les épaules, comme si tous ça semblait normal. Je me suis assis sur le bord du lit, tous mes membres étaient douloureux.
- Et quand tu n'arrive pas a dormir, tu vas te faire passé a tabac, cool, mais que ça ne devienne pas une habitude je serais pas toujours là.
- J'avais besoin de me défoulé et de réfléchir, de joué au basket…
- Ouais…
À se moment là, quelque un vint frappé a la porte, Julien est allé ouvrir et'lun de ses potes est arrivé en trombe.
- Cette nuit le… qu'est qu'il fait là lui, tu l'a ramené chez toi ? s'est il exclamé outré, en me voyant.
- Rien, a répondu Julien.
- Qu'est-ce qui c'est passé cette nuit ? ai-je demandé.
- Tu dois le savoir, puisque c'est toi et tes copain qui avez dégradé le terrain.
- Quoi ? me suis-je exclamé en me relevant avec difficulté.
- David est resté avec moi tous le reste de la nuit, et tu étais avec moi quand nous l'avons trouvé, le terrain n'était pas dégradé.
- Je m'en fiche, se sont ses amis, il est également responsable.
- Attend avant de nous jugé, si ça se trouve se ne sont même pas eux, d'ailleurs je suis sur qu'ils en seraient incapable.
- Comment peux tu en être sur ? m'a demandé Julien.
Je n'ais pas répondu et me suis contenté de les suivrent jusqu'au scuart. Les panier était tagué et décroché, les lampadaires brisé, et le sol remplie de tague et de déssins insulant.
Je ne suis pas resté après ça, Julien ma conseillé de partir avant que les autre n'arrivent, je n'en avais pas très envie, mais il avait raison, partir était plus judicieux pour le moment. Ce jour là, je restait tous le reste de la journé alongé, mes membres était trop douloureux, et mes parents trop inquiet.
Le lendemain, on était Lundi, et le jour d'après serais le grand jour,notre match. Pour l'occasion tous les cours finiraient a 15 h. Mais pour le moment, il restait a nous entraîné on voulait être près, près pour gagner ! On a couru autour du terrain 10 bonne minutes, puis on s'est arrêté reprenant notre soufle, pour s'étiré. L'embience était a son comble, on était tous sureexité, mais on devait gardé notre clame. Mon mot d'odre, ne pas partir gagnant… mais je dois avoué, que j'étais ailleur, je ne pouvais pensé au match, pas après ce qui c'était passé la veille. On était tous entrain de faire des doubles pas, moi je n'en avais pas marqué un seul.
- Qu'est-ce qui t'arrive vieux ? m'a demandé Zac, un de mes camarades.
- Le terrain de la cité a été vandalisé..
- Ouais… c'est bien fait pour eux, ils n'auraient pas du nous caché et s'en prendre a toi !
- Quoi ? Attend tu… tu veux dire que c'est vous qui avez fait ça ? Zac était partie et n'avait même pas entendu ma question, mais Robin juste derrière moi me répondit :
- Ils ne se prendront plus pour des bosses maintenant…
Alors là ! Je ne pouvais plus respiré, plus bougé, j'étais comme figé, j'étais pâle, j'allais pas bien du tous. Le ballon ma échappé des mains, j'ai du me plier en deux, le soufle altant. Au fond de mon cœur un poids pesait lourd, j'avais mal, mal a la tête, mal a l'estomac, et mal au cœur. Je réprimis un haut le cœur.
- Ça vas allé David ? m'a demandé le catch en venant me voir.
- Je… je ne me sens pas bien… pas bien du tous.
- Tu devrais peut être rentré chez toi et te reposé, tu dois être en forme pour demain. Je n'entendais pas ce qu'il disait, je me contentais allé en silence en direction des vestiaire, j'ai pris mon sac et suis partie, le regard, vide, sans expression je n'en croyais pas mes oreille et mes yeux… comment avait ils puent ? Je les avais défendu, j'ai pris leur défence ! Et je me suis trompé… comment avaient ils puent me trompé a se point… je suis déçut, j'avais confiance en eux, ils m'avaient trahi… je ne savais plus quoi faire ni quoi dire.
En rentrant chez moi je suis passé devant le scuar… je sais pas trop pourquoi ce jour là… d'habitude je ne passe jamais par ce coin c'est beaucoup plus long, et puis c'est vrais que ça faisait très longtemps que je ne fréquentais plus la citée. Je m'apprêtais a dépassé la petite rue lorsque j'ai changé d'avis, je revint sur mes pas et m'engoufra dans la rue. On avait une immence vus sur la citée qui se trouvait derrière. Autours du terrain il y avait peut d'herbe, et le terrain lui-même ne ressemblait plus a rien. Des jeunes se mobilisaient pour frotter le sol et les paniers mais ils n'y avait pas grand choses a faire, ça ne voulais pas partir, faudrait frotté longtemps. Je suis resté là a regardé ses mômes se défoncé a remettre leur terrain en état un bon moment… c'est le cœur sérré que je voyais ce qu'était devenu mon terrain… je ne le supportais pas. Aujourd'hui se terrain que je considérais comme mon jardin secret étant petit était plus rien, tous ça a cause de personne que je considérais comme mes amis. J'avais mal, mal au fond de moi, un vide immense au fond de mon cœur… plus rien ne serais comme avant. Comment avais-je pus devenir amis avec des gars comme ça ! Ok les gars de la cité n'était pas des anges, mais ils ne s'en prenaient a personnes sans raison, si ils agressaient s'était seulement de la défence, Julien y m'était un point d'honneur a le faire respecté. Mainatenat, vous allez me dire, mais qu'est-ce qu'il délire ce gars, il c'est fait passé a tabac et défend ses agresseurs ?! Il est frappa dingue ! Bas non, je connais juste la citée ! Ce ne sont pas des amis a Julien les gars qui s'en sont pris a moi, loin de là. Ces gars là ne trainaient pas avec la bande a Julien, et de toute manière, il ne l'aurait pas acsépté. Ces types, n'était pas vraiment des amis a mère Térésa, si ils avaient déjà tué un mecs ça ne m'aurait pas étonné, et là vous vous ditens, bas il est revenu de loin le p'tit basketteur, et vous auriez raison, parce que j'aurais vraiment pus mourir ce soir là, rien que d'y pensé, j'en ais des frissons.
J'ai regardé ce spectacle quelque temps encore puis tous le monde a commencé a quitter le terrain, c'est alors que Julien m'a vut, il est venu me voir…
- Tu me file un coup de main ? a demandé Julien.
- Je… je me sens pas bien, je passerais demain, ai-je dit en m'éloignant, puis je me suis stopé. Je croyais que je n'étais pas le bienvenu ? ai-je fait remarqué troublé.
- Oui, parce que pas une seul fois tu n'es revenu nous voir… tu nous manque David, nos partie incroyable me manque. Maintenant regarde tous ça, ils savent que tu n'y est pour rien, tu es un chique type. Tu as changé, c'est vrais, tu t'es éloigné de tes amis, mais sache une chose, c'est que pour moi au fond de ton cœur tu es toujours le même garçon sympathique, joueur, qui savait s'amusé et qui pensait qu'a joué au basket, mais qui se fichait bien de gagner. Parce que c'est ça le basket David,, si tu ne prend pas du plaisir a joué, à ce que tu fait, alors a quoi bon faire rebondir le ballon ?
Je l'ais regardé quelques instant, puis j'ai baissé les yeux a terre et de marché jusqu'à chez moi. Repensant à tous ce que m'avait dit Julien, à tous ce que je ressentais…
Je me suis allongé sur mon lit fermant les yeux me rappellant tous ces bon moment passé à la citée, avec Julien et les autres…
Cette nuit là je fit beaucoup de rêve certain étaient des souvenir, d'autre des cauchemars dans lesquels je me faisais tapé dessus par des gars de la citée. Enfin j'ai également fait des rêves sur le match, c'était le plus important de la saison, ça commençait à me tourmenté.
Mardi 17h.
L'ambiance était à son comble, le gymnase était remplit, ce match était important, on devait le gagner.
- David ? m'a appelé le catch, viens voir…
On était entrain de Chouté, j'ai donc laissé mon ballon au suivant et ais accouru vers lui.
- Oui catch ?
- Tu vas mieux, tu t'es reposé ?
- Oui m'sieur.
- Très bien… on compte tous sur toi tu sais… des recruteurs te regardent, alors surtout donne toi a fond, soi le meilleur !! Après ces quelques mots d'encouragement, le catch s'en est allé rappellé ses joueurs. Encore une fois, le résultat de ce match dépendait de moi… deplus on me regardait, j'allais enfin pouvoir joué en pro, génial non ?
Ouais pourtant j'allais pas bien, j'avais pourtant toutes les raison de me réjouir, pourtant ce n'était pas le cas. Le regard vide, mon cerveau était endoloris. À mes coté, les joueurs, venaient rejoindre le catch.
- Bon on doit gagner ce match, c'est bien comprit ?
- Oui, avons-nous répondu.
- j'ai pas bien entendu !
- OUI !
- Aller, filez…


encore un peut de patience pour la fin zen
Revenir en haut Aller en bas
http://jeunesecrivain.niceboard.com
 
Champion.
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Champion

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Lire et écrire :: Vos écrits :: Vos écrits :: Nouvelle-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser